NAJI HAKIM
NAJI HAKIM

CIELITO LINDO for piano duet

Title, Duration, Place, Year, Publisher, Dedicated to, Premiere (performer(s), place, date)

CIELITO LINDO for piano duet, 1'30, Bayonne, 2025, U.M.P., to Andréa Azzi and Georges Daccache, Marie-Bernadette Dufourcet & Naji Hakim, 30.09.25

 

Cielito lindo is a traditional Spanish melody that became one of the most recognizable and beloved songs in Mexico, where it is often performed by mariachis and sung collectively during festivities. Its verses evoke the Sierra Morena and the charm of “little black eyes” and a “beauty spot near the mouth,” imagery found in old Andalusian coplas. Over time, the song crossed the Atlantic, merged with Mexican folk traditions, and grew into a joyful emblem of identity, affectionately regarded as an “unofficial anthem” both at home and abroad.

In this four-hand piano arrangement, the music retains its festive, dance-like spirit. The sequential AABB structure is framed by a brief introduction and coda, while the pianistic writing explores playful hemiola effects (3/4 against 6/8), producing rhythmic vitality reminiscent of the swing of popular ensembles.

 

Cielito lindo est une mélodie traditionnelle espagnole, devenue au fil du temps l’une des chansons les plus emblématiques et aimées du Mexique, où elle est fréquemment interprétée par des mariachis et reprise collectivement lors des fêtes. Ses couplets évoquent la Sierra Morena, ainsi que le charme des « petits yeux noirs » et du « grain de beauté près de la bouche », images héritées d’anciennes coplas andalouses. En traversant l’Atlantique, la chanson s’est enracinée dans le folklore mexicain, jusqu’à être considérée comme un « hymne non officiel », tant au pays qu’à l’étranger.

Dans cet arrangement pour piano à quatre mains, la musique conserve son caractère festif et dansant. La structure séquentielle AABB est encadrée par une brève introduction et une coda, tandis que l’écriture pianistique joue sur des effets d’hémiole (3/4 contre 6/8), créant une vitalité rythmique qui rappelle l’élan des ensembles populaires.