GREGORIAN TRIPTYCH, Kyrie - Adoro te - Salve Regina, 13', Bayonne, 2025, U.M.P., Dan Ahlin, Sister Mary Frances Wynn, OSB, Scott Turkington, -, -, -.
Gregorian Triptych brings together three of the most beloved melodies of the Gregorian repertoire: Kyrie Orbis Factor, Adoro te devote, and the Salve Regina (tonus solemnis). Each movement develops its chant with a distinct expressive character while preserving the spiritual essence of the original melodies.
The opening movement is built on the Kyrie of Mass XI, Orbis factor. Conceived as a trio, its unchanged Gregorian cantus appears in the upper part—voiced here on the oboe—resting above a perpetual-motion line of semiquavers.
The central movement, an intimate hymn of thanksgiving after Holy Communion, adopts a more contemplative tone. The Adoro te devote unfolds through delicate ornamentation on a harmonic flute stop, supported by expressive harmonies on a gamba, also drawn to the pedal.
The Triptych concludes with a paraphrase of the Salve Regina. Here, the meditative character is carried to its extreme, both in the ornamental expressivity and in the harmonic freedom, which gently evokes—like a tender and sorrowful remembrance—the worlds of Debussy and Tournemire.
Le Triptyque grégorien réunit trois des mélodies les plus aimées du répertoire grégorien : Kyrie Orbis Factor, Adoro te devote et le Salve Regina (tonus solemnis). Chaque mouvement développe son chant selon un caractère expressif propre, tout en préservant l’essence spirituelle des mélodies originelles.
Le premier mouvement est bâti sur le Kyrie de la messe XI, Orbis factor. Conçu comme un trio, le cantus grégorien, inchangé, apparaît à la partie supérieure — confié ici au hautbois — et repose sur une ligne en perpetuum mobile de doubles croches.
Le mouvement central, hymne d’action de grâce après la Sainte Communion, adopte une atmosphère plus méditative. L’Adoro te devote y est ornementé avec délicatesse sur une flûte harmonique, soutenu par des harmonies expressives au jeu de gambe, également en tirasse à la pédale.
Le Triptyque se conclut par une paraphrase du Salve Regina. Le caractère méditatif y est porté à son paroxysme, tant dans l’expressivité ornementale que dans une licence harmonique évoquant — comme un tendre et triste regret — les styles de Debussy et de Tournemire.
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